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 Loukás - Someone like you

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MessageSujet: Loukás - Someone like you   Loukás - Someone like you EmptyDim 1 Jan - 20:41

    ✎ Dossier d'admission

Loukás - Someone like you Colton
(c) tumblr

Loukás Oúgos Serapheím

inventé. scénario.
καλημέρα ! Je m'appelle Loukás Oúgos Serapheím. Je suis née le 22 septembre dans une petite ville près d'Athènes, ce qui me fait 20 ans. Je suis d'origine grecque. Je suis à Athènes depuis 2 années. Actuellement je suis célibataire et coeur brisé. Je suis à l'université d'Athènes pour étudier le sport et c'est ma 2e années. Je compte devenir champion d'escrime plus tard, c'est ce qui me passionne. Par ailleurs, on me dit souvent que je ressemble étrangement à Colton Haynes.
Je fais partie des Lamba. Je suis quelqu'un de ; joueur, fainéant, protecteur, cynique, fêtard, sombre, extrême, violent, vif d'esprit, et je ne supporte pas les critiques.
J'aime beaucoup de choses, telles que mon ex petite amie, l'escrime, faire la fête, les substances illicites, le bruit apaisant des vagues. En revanche, je n'aime pas du tout la vie en général, le nouveau mec de mon ex en particulier, les optimistes, les gens qui me veulent du bien, être en manque.

    ✎ Derrière l'écran.
Derrière l'écran se cache un ; homme
Prénom - pseudo ; Orion
Âge- pays ; 20 ans ; UK
Fréquence de connexion sur le forum ; 7/7
Première impression du forum ; WoW Loukás - Someone like you 1139401285
Comment as-tu découvert G.B ; je suis dans le staff cyclops
Sans oublier les deux petits mots du code du règlement qui sont validés


Dernière édition par Loukás O. Serapheím le Lun 2 Jan - 13:44, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Loukás - Someone like you   Loukás - Someone like you EmptyLun 2 Jan - 13:30


    ✎ A savoir.
Loukás - Someone like you Tumblr_lwxuhalSVF1qzkm2wo1_500
(c) tumblr
Je tire une nouvelle taffe sur le joint qui tourne et m’enfonce un peu plus dans le canapé défoncé sur lequel je suis avachi. Le mec à côté de moi essaye de me parler mais la musique est trop forte et de toute façon je m’en fous. Je pourrais tendre l’oreille et prétendre que ça m’intéresse, mais à quoi bon ? Je fixe le vide et sens mes pupilles se dilater un peu plus à mesure que la drogue me monte à la tête. La dose massive d’alcool que j’ai ingurgité au préalable aidant, je démarre au quart de tour. Mon regard dérive lentement sur l’appartement ravagé dans lequel je me trouve et où la fête bat son plein. Tous ces gens heureux qui se trémoussent sur une musique de merde me filent la gerbe – ou peut-être est-ce la vodka, je ne sais plus, je m’en fous. Je ravale ma bile et tente de me lever, de me barrer, de quitter cette mascarade de fête à la con où tout le monde me connait sans me connaitre, et puis je me souviens que c’est mon appartement, que j’ai perdu mes clés de bagnole y’a au moins une demi de ça, et que de toute façon je n’arrive même pas à me lever tellement je suis déchiré. Je tente de crier, de leur hurler à tous que je les déteste, que tout est vain et que la vie c’est de la merde, mais la seule chose qui sort de ma bouche est une espèce de grognement inaudible. Une fille complètement torchée se prend les pieds dans une canette vide qui traine et me tombe dessus. Je veux l’insulter mais rien ne sort de ma bouche ouverte, je lève les bras pour la repousser mais n’y parviens même pas. Et cette connasse prend ça pour une invitation à fourrer sa langue dans ma bouche. Toutes des putes. Rien n’a d’importance, je me laisse faire, et tente de discerner son visage, pas facile avec mes yeux vitreux. Elle est hideuse, elles le sont toutes, je les déteste. ELLE seule est belle. Elle, c’est Danáē, la plus belle, la plus intelligente, la plus raffinée, la plus incroyable, la plus merveilleuse. Un fragment de mon âme. Je m’évade et repense à notre première rencontre alors qu’on avait huit ans, à notre amitié sans limite pendant tant d’années, à notre premier baiser à quatorze ans, à quand je lui ai dit que je l’aimais pour la première fois à quinze ans, et à nos conneries, et à nos coups de gueule, et à la manière dont elle faisait de moi un mec bien, moi la tête de con incapable d’aimer personne d’autre qu’elle. Et puis le conte de fée se poursuivit, on est rentrés à l’université ensemble, je m’étais défoncé pour avoir une place à Athènes U pour rester avec elle. Putain comme j’étais fier d’elle, fier de nous. Mais c’est là que les ennuis ont commencé. Par ma faute, comme d’habitude, il faut toujours que je gâche tout. J’ai commencé à faire la fête, trop souvent, trop longtemps, trop alcoolisé, trop défoncé, trop ingérable. Elle avait du mal à aimer le déchet que j’étais en train de devenir. Putain, elle avait vu juste, comme d’habitude. Et puis j’ai commencé à dealer. C’en était trop pour elle, elle ne me reconnaissait plus, et elle m’a largué. En douceur, parce qu’elle n’était même pas capable de me faire du mal, elle. Même pas capable de me donner une raison de la détester pour faire passer la pilule. Alors à la place je me suis détesté moi. Tout était ma faute. Je lui ai promis de décrocher, de rester clean, d’arrêter les conneries, je l’ai supplié, elle m’a repris, je lui ai menti, j’ai repris les conneries, et retour à la case départ. Je sens le dégoût de moi-même qui monte, ou peut-être n’est-ce que mon avis de gerber qui revient. Je n’ai même pas senti que la meuf qui m’embrassait est repartie danser. Je n’ai pas bougé d’un poil, toujours allongé sur le canapé, incapable de bouger, et les larmes aux yeux. Putain, ce que je me déteste. Le plus douloureux, c’est de la revoir presque tous les jours depuis six mois au bras de son nouveau mec. Monsieur parfait. Enculé, je te ferai la peau, je le jure. Je te ferai regretter de la rendre si heureuse, de lui montrer à quel point elle n’a pas besoin de moi pour se sentir bien, alors que moi j’ai tellement besoin d’elle. Que sans elle je ne suis qu’une merde, une épave, un déchet tout juste bon à gâcher sa vie et à ruiner tout ce qu’il touche. Je trouve la force de me tourner sur le flanc et voit un cacheton qui traine sur la table basse. J’en ai déjà pris un tout à l’heure, qu’importe – je l’avale en moins de deux. Tout devient flou, la lumière m’éblouit, je ferme les yeux. Je veux me lever, crier, hurler, frapper quelqu’un de toutes mes forces, me blesser, me jeter du balcon. A la place, je m’évanouis enfin, mon dernier regard se portant sur le type de la sono : demain soir, on remet ça chez lui.

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