Krystopher F. Giorgio
ϟ MESSAGES : 35 ϟ AGE : 23 ans ϟ CONFRÉRIE : Lambda ϟ AVATAR : jensensexyackles
| Sujet: Krys F. Giorgio ϟ C'est toi le titre. Lun 2 Jan - 22:35 | |
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(c) kimlennox - tumblrKrystopher Felipe Giorgio καλημέρα ! Salut ! Moi c’est Krystopher Giorgio. J’ai 23 ans, et je suis né le 20/07/88 à Athènes. A l’université, je fais ma 5ème année en sport – je fais donc parti des Lambda. J’espère que ça va déboucher sur le métier de footballeur, mais rien n’est moins sûr ! Vous serez ravis d’apprendre que je suis hétérosexuel, d’ailleurs en ce moment je suis en couple. Et oui, je sais, on me le répète tout le temps, je ressemble étrangement à Jensen Ackles. | Puisque vous voulez tout savoir, on dit souvent de moi que je suis une personne unique en son genre. Je me définis comme étant bourré de qualités, dont extraverti, sportif, sociable, fêtard, amusant, disponible. Mais j’ai aussi les défauts qui vont avec puisque je suis impatient, jaloux, bagarreur, discret, arrogant. En ce qui concerne mes goûts, j’aime le football américain, B. K. S., le soleil, ma voiture, faire la fête ; et je n’aime pas les moutons, les gens susceptibles, la nourriture asiatique, la vodka, les dragibus orange ... Vous savez tout ! |
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(c) kimlennox - tumblr HISTOIRE DU PERSONNAGE | « Athènes … La ville de mes rêves, celle où je suis né, celle que je ne quitterais qu’en cas d’obligation. Le soleil est, au fil du temps, devenu ma drogue et je ne pourrais sans doute plus m’en passer. Demandez-moi de partir en Islande et je fais une dépression. Bref, ça n’est pas ça le plus important. En réalité, j’ai vu le jour pour la première fois dans le plus grand hôpital du pays. C’était le 20 juillet 1988, il y a donc un peu plus de vingt-trois ans. Ma mère venait tout juste d’avoir vingt ans quand j’ai pointé le bout de mon nez. Le premier garçon de la famille Giorgio, c’était un événement. Ma mère est américaine, native de San Francisco. Elle y a, d’ailleurs, rencontré mon père, qui s’y trouvait en vacances. Tombée enceinte très rapidement, la jeune blonde s’est rapidement rendue compte qu’elle avait choisi un homme très porté sur les traditions, qui pouvait aussi se montrer violent quand quelque chose n’allait pas. Les deux jeunes gens sont finalement rentrés en Grèce et ma mère est devenue Madame Felipe Giorgio. Ma famille ne vivait pas avec de gros moyens, c’était comme ça. Ma mère, après ma naissance, a rapidement trouvé un travail de serveuse. Quant à mon père, il travaillait au garage familial, en tant que mécanicien. Malgré ça, j’ai été un petit bonhomme heureux. Ma petite sœur est née trois ans après moi. Athénaïs, une petite princesse que je devais protéger contre tout. Que ça soit contre la porte de la cuisine qui n’arrêtait pas de claquer ou contre le monstre qu’il y avait sous son lit … Le problème était ailleurs, en réalité. Mon père avait beau tout avoir pour être heureux, il s’avérait devenir parfois assez violent avec sa femme. Je me souviendrais toujours des crises de nerf qu’il avait certains soirs. J’étais un enfant alors je me contentais de pleurer et d’aller me cacher. Mais, ses hurlements me parvenaient toujours et j’en avais peur, je dois l’avouer. Enfin, tout cela restait assez rare. A l’époque, mon père ne buvait pas tous les jours, alors nous pouvions tout de même être heureux. Bien entendu, ma sœur et moi recevions aussi quelques corrections. Felipe avait grandi comme ça, c’était dans les habitudes de la famille et il n’y avait, de toute façon, rien à faire. Je m’efforçais simplement de protéger ma sœur, de lui éviter les coups. Ca n’était pas grand-chose mais, c’était ma seule possibilité. Notre mère, quant à elle, lui demandait de ne pas nous toucher. C’était une raison de plus pour son mari de se mettre en colère et de lui reprocher d’être trop laxiste. C’était un puits sans fond … C’est à cette époque là que j’ai commencé à jouer au football américain. Pour sortir de la maison, m’évader un peu … J’ai aussi découvert l’année de mes six ans que j’allais consacrer ma vie au sport.
Ne jamais en demander trop. J’aurais du le savoir. J’avais grandi et je comprenais enfin que mon père n’était pas l’homme que je croyais. C’était l’histoire des chaussures de foot, je m’en souviens comme si c’était hier. « S’il te plaît, papa, est-ce que je pourrais avoir cinquante euros pour m’acheter des nouvelles chaussures de foot ? » J’avais osé demander, après avoir retourné la situation dans ma tête pendant des semaines. J’avais tout juste douze ans et mes chaussures de foot étaient trouées de toute part. J’en avais tellement honte quand je voyais que certains changeaient les leurs tous les six mois … J’étais un gamin et ça me rendait presque malade. Parfaitement conscient que ça allait être difficile, j’avais choisi mon moment, vérifié que mon père était de bonne humeur. Ca n’a pas tellement marché. Il s’est mis à crier. Je m’en souviendrais toujours, c’était la première fois qu’il hurlait si fort contre moi. « Tu crois que je me casse le dos tous les jours pour t’acheter des conneries pareilles ?! Tu me fais perdre mon temps, comme d’habitude ! D’ailleurs, le football, c’est terminé. » J’ai évidemment répondu. Arrêter le football était hors de question et j’ai essayé tant bien que mal de le lui faire comprendre. Encore une fois, ça n’a pas tellement marché. Il m’a envoyé valser contre la table basse. C’était la première fois et ça ne fut pas la dernière, malheureusement. Je voulais juste une autre paire de chaussures … J’ai été absent des entraînements de foot pendant des mois et j’ai été travaillé, dès le lendemain de cette dispute, au garage de mon père. Avec l’arcade ouverte et un hématome impressionnant à l’œil. J’ai fini par les avoir pourtant, ces putains de chaussures …
Et puis, le temps de l’adolescence est arrivé. Le collège, le lycée … J’ai repris le football évidemment. Mon père a été étrangement facile à convaincre, d’ailleurs. Malgré ça, j’ai continué à travailler. Je crois que j’ai fait presque tous les métiers possibles et existants. J’ai bossé comme livreur de pizza, serveur, mécanicien aussi évidemment … J’ai aussi eu ma petite période de deal. J’avais presque dix-sept ans et j’avais besoin d’argent pour m’acheter la voiture de mes rêves. Alors j’ai rencontré les bonnes personnes, enfin les mauvaises plutôt, et puis, ça s’est fait automatiquement. Il suffisait d’avoir les contacts. C’est sans doute le job le plus facile que j’ai eu … C’est aussi cette année là que ma mère est repartie aux Etats-Unis. Son mari ne s’était pas calmé du tout, bien au contraire. Il avait l’alcool mauvais, à croire que je tiens ça de lui, et ne cherchait même plus retenir ses coups. C’était trop pour elle et c’était normal. « Krystopher, viens avec nous. S’il te plaît. » Elle avait insisté, longuement. Ma sœur avait seulement treize ans et c’était prévu qu’elle parte avec ma mère. J’en étais plus que soulagé et ça me suffisait. Je répondais simplement « Non. ». Je ne saurais pas dire aujourd’hui pourquoi je suis resté. Ce mec était mon père, malgré tout, avant d’être un connard fini. La vie d’Athènes me convenait. Je connaissais la ville comme ma poche, j’y avais mes amis, mon équipe, une copine aussi, si je me souviens bien. Ca allait être difficile, insupportable mais, c’était comme ça, et je faisais avec. Les deux femmes les plus importantes pour moi sont donc parties et je suis resté habité avec mon père. C’était pas la joie mais, je me débrouillais. Et puis, la chance de ma vie est arrivée. J’avais la possibilité d’aller à l’université. Pas vraiment grâce à mes notes mais grâce au football. La bourse me donnait le droit d’accéder à un endroit où je n’aurais jamais espéré entrer. Je me suis pris encore une autre des raclées de ma vie quand mon père l’a appris. Ce ne me dérangeait même plus de me faire taper dessus. Je ne ressentais plus la même douleur qu’avant. Je n’étais plus un gamin et je savais que j’allais pouvoir partir rapidement et ça, ça effaçait tous les coups qu’il pouvait me donner.
La vie est compliquée, tout le monde le sait. Personnellement, je fais juste en sorte de m’y adapter et de la prendre au jour le jour, comme elle vient. J’ai la chance d’être charismatique, les gens remarquent la plupart du temps quand je rentre une pièce. La plupart du temps, je suis quelqu’un que l’on remarque assez facilement. Plutôt grand, je mesure pas loin d’un mètre quatre-vingt cinq. Pratique pour le sport, je vous l’accorde ! D’ailleurs, du sport, j’en fais énormément et ça se voit. Je ne saurais pas du tout vous donner mon poids mais, je ne vous cacherais pas que sous ma couche de vêtements, les muscles sont bien présents. Enfin, pas la peine de plus épiloguer là-dessus, quand on me voit, on sait que je ne passe pas mon temps affalé dans mon canapé, c’est tout. Je peux vous confier, au passage, que les filles adorent les hommes sportifs, et donc musclés. Avantage : Krystopher ! Pour un grec, je suis assez pâle de peau mais je bronze facilement, tant mieux. Un autre détail qui en fait craquer plus d’une … Tant qu’à rester dans le genre de choses que les filles aiment particulièrement, il convient de parler de mon visage. C’est une bénédiction, j’ai un visage d’ange, sans doute mon plus grand atout. Il suffit parfois d’un seul sourire, d’un seul regard et les jeux sont faits. Mes traits sont fins, malgré les fossettes qui creusent mes joues et les petites rides qui se créent aux creux de mes yeux quand je souris. Il parait d’ailleurs que même ça, c’est craquant. Mes yeux sont d’un vert brillant, mêlés selon la luminosité d’éclats dorés. J’abuse souvent de leur pouvoir, d’ailleurs. En réalité, je suis un parfait acteur. Mimer l’attitude de quelqu’un qui va parfaitement bien, d’une autre personne qui irait beaucoup plus mal, c’est d’une facilité déconcertante pour moi. Je n’ai aucun mal à cacher mes sentiments et je dois dire que ça me facilite la vie. Mes cheveux sont châtains. D’ailleurs, quand j’étais petit, j’étais blond, une vraie horreur. Je suis aussi passé par la phase bien connue et tant redoutée de la « coupe au bol ». Les photos ont toutes été brûlés, il me semble. Aujourd’hui, le traumatisme est encore présent, malgré tout, et je porte toujours les cheveux courts, parfois agrémentés de gel. Il est également important d’évoquer mon style vestimentaire et pour le qualifier, je ne donnerais qu’un seul mot : Routine. En fait, pour vous expliquer ma logique, il faut s’habiller donc je m’habille. Le matin, c’est en général le premier truc qui tombe de mon armoire que je vais porter. En soirée, c’est un peu différent. Je fais plus attention mais, ça reste très sobre. Un tee-shirt, un jean, éventuellement une chemise, ça ne va pas très loin et ce n’est pas plus mal. Et puis, il y a les tenues de sport aussi qui tiennent une grande place dans ma vie, il faut le souligner. Enfin … Pour vous conclure ça en une phrase : Mon physique n’est pas la chose la plus importante dans ma vie, heureusement ! Extraverti, je vais vers les autres plutôt facilement et je n’ai aucun mal à me faire des amis. Enfin, des amis, c’est vite dit. On ne sait jamais si ces personnes sont vraiment dignes de confiance mais je relativise : se faire des potes en soirées ou ailleurs n’engage à rien. En revanche, pour les personnes qui peuvent se vanter de me connaître vraiment, ça devient autre chose. Dès lors que je fais confiance à quelqu’un et qu’il s’avère que la réciproque est vraie, je pourrais faire n’importe quoi pour cette personne et j’en attends aussi beaucoup. Je suis, d’ailleurs, sans doute trop exigeant envers les personnes que je considère comme étant des amis. Toujours disponible, l’amitié signifie beaucoup pour moi, c’est sans doute une des choses les plus importantes dans ma vie. Bref, je suis aussi un fêtard invétéré et quelqu’un qui ne peut pas rester sans rien faire. Les soirées entre potes, c’est une autre de mes drogues, d’ailleurs. Pourtant, quand on pense université, on s’imagine toujours les cours sans fin, les vieux professeurs qui auraient plus leur place dans un musée consacrée à la préhistoire que dans un amphithéâtre, les longues heures à réviser à la lueur de sa lampe de bureau … Il n’y a pas que ça, dieu merci ! Il y a aussi les soirées, les fraternités, le sport, les filles, tout ce que j’aime. Oui, je suis autant un mec sportif que séducteur. Le sport, d’abord, occupe une place importante dans ma vie. Il n’y a pas un jour sans que j’aille courir. Je crois que je ne me sentirais pas très bien, en fait, si je devais m’arrêter. Je suis capitaine de l’équipe de football de l’université et ce rôle me tient particulièrement à cœur. Mais ailleurs que dans le sport, où je suis très exigeant, je ne me prends pas vraiment au sérieux et j’adore m’amuser. Draguer est mon autre sport favori, à vrai dire. Et c’est plus un jeu pour moi qu’autre chose. Malheureusement, cela me donne parfois un côté arrogant. Comme si je ne doutais jamais de moi et de mes capacités. Je sais ce que je vaux, c’est sûr mais je ne suis pas aussi orgueilleux que je peux le paraître. Bien au contraire … Enfin, le séducteur s’est effacé depuis quelques temps. Il faut dire que je suis en couple et pour la première fois de ma vie, fou amoureux. Après ça, je suis quelqu’un de colérique. Je démarre au quart de tour. Les conséquences, je ne connais pas. La jalousie est aussi un de mes traits de caractère évidents. Je peux rapidement m’énerver pour des broutilles. Un regard mal placé sur ma copine, un ancien copain trop collant et ça ne mettra pas longtemps pour se terminer à l’hôpital. Avec ça, j’ai du mal à rire, je dois l’avouer. Malgré ça, je reste assez peu bavard, surtout quand il s’agit de parler de moi. Vous n’imaginez pas, d’ailleurs, à quel point me décrire a été agaçant ! |
| Derrière l'écran se cache une ; femme / homme Prénom - pseudo ; Minnie Âge - pays ; Presque 21 ans – Bretagne ♥ Fréquence de connexion sur le forum ; 7/7 Première impression du forum ; Il gère la fougère & craque le slip panthère à sa mémé, j’crois ! (a) Comment as-tu découvert G.B ; Sur PRD Sans oublier les deux petits mots du code du règlement qui sont : OK par Dany |
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